Conclusion de Introduction aux études historiques

Conclusion de Introduction aux études historiques

Introduction

I/ "L'histoire n'est que la mise en forme de documents "

II/ " Nécessité d'une division et d'une organisation du travail en histoire"

"Ce n'est point la nature du sujet qui fait la valeur d'un travail, c'en est la méthode"

A) Des documents essentiels mais limités

B) Une histoire restreinte

B) Les "auteurs de synthèses partielles

A) Les "travailleurs spéciaux"

- ligne 1 :« L’histoire n’est que la mise en forme documents »

ce sont des traces qu'on laissées les pensées et les hommes d'autrefois

- L' Heuristique

- aux lignes 4 à 6 : « La quantité des documents qui existent […] est donnée ; le temps […] la diminue sans cesse ; elle n’augmentera jamais »

une histoire incomplète

- ligne 7 :« les progrès de la science historique sont limités »

- A la ligne 33: "auteurs de synthèses partielles"

historien en herbe

- A la ligne 36 : « de monographies »

élucide un point spécial

- A la ligne 37 : « destinées à servir de matériaux à des synthèses plus vastes »

ce n'est pas une fin mais un moyen

- A la ligne 38 : « s’accordent à travailler d’après la même méthode »

uniformisation

- A la ligne 38 : « que les résultats de chacun puissent être, sens enquête préalable, utilisés par les autres. »

la même méthode pour tous

- Aux lignes 9 et 10 : « Pour quelques périodes anciennes, dont les documents sont rares, […] il faudra s’arrêter. »

prédominance de l'histoire contemporaine

- A la ligne 11 : « Les historiens seront alors obligés de se replier de plus en plus sur les périodes modernes. »

l'histoire d'immense période du passé de l'humanité est à jamais inconnaissable

- Aux lignes 11 à 15 :« L’histoire ne réalisera donc pas le rêve qui, au XIXème siècle a inspiré aux romantiques tant d’enthousiasme pour les études historiques »

petite pique envers les historiens romantiques

- A la ligne 18 : « La connaissance ne s’obtient pas en histoire […] comme les autres sciences : elle est indirecte »

l'historien doit procéder par voie de raisonnement

- A la ligne 33 : « des travailleurs spéciaux »

les archivistes, les bibliothécaires

- A la ligne 35 : « pour que soit achevée le plus tôt possible […] l’œuvre préparatoire de l’érudition »

de l'efficacité

- A la ligne 36 : « dans les meilleures conditions de sûreté et d’économie »

éviter les sources d'erreurs: dilettantisme, impuissance et l'hypercritique

- A la ligne 33 : « les travailleurs spéciaux s’occupent de la recherche, de la restitution et du classement provisoire des documents »

pour une production plus abondante et mieux réglée

- A la ligne 34 : « coordonnent leurs efforts »

Charles Seignobos

Charles-Victor Langlois

- l'Ecole normale supérieure

- Fustel de Coulanges et Ernest Lavisse

- Séjour en allemagne

- l'Ecole des Chartres

- diplôme d'archiviste paléographe

- l'école pratique des hautes études

C) Les "travailleurs expérimentés"

C) Une histoire soumise à la critique

- A la ligne 10: « passer par la critique, et la critique consiste en une série de raisonnement par analogie »

la critique externe ou critique d'érudition:

- Critique de resitution

- Critique de provenance

- Classement critique des faits

- ligne 12 : « les organiser en construction, il faut se les représenter et les grouper d’après leur ressemblance avec des faits actuels »

Quelle est la méthode décrite, dans la conclusion de leur ouvrage, par Langlois et Seignobos pour faire de l'Histoire une science à part entière?

- A la ligne 39: "travailleurs expérimentés"

professeurs titulaires

- A la ligne 40 : « renonçant aux recherches personnelles, consacrent tout leur temps à étudier ces synthèse partielles, afin de les combiner d’une façon scientifique en des constructions générales »

acteurs de la science historique

- A la ligne 26 : « il lui faut combiner toujours la connaissance particulière des conditions où se produisirent les faits humains »

A la ligne 27 : « l’intelligence générales des conditions où se produisent les faits humains »

mise en place de la critique interne:

- critique d'interprétation

- critique interne de sincérité et d'exactitude

- A la ligne 43 : « des conclusions sur la nature et les causes de l’évolution des sociétés, on aurait constitué une « philosophie de l’histoire » »

de la même façon que Polybe

I/ " L'histoire n'est que la mise en forme de documents " l.1

A) Des documents essentiels mais limités

B) Une histoire restreinte

C) Une histoire soumise à la critique

II/ " Nécessité d'une division et d'une organisation du travail en histore " l. 32

A) Les "travailleurs spéciaux"

B) Les "auteurs de synthèses partielles"

C) Les "travailleurs expérimentés"

III/ "Historia magistra vitae"

A) Une histoire utile au présent

B) Une histoire indispensable

C) "Instrument de la culture intellectuelle"

III/ "Historia magistra vitae"

Conclusion

A) Une histoire utile au présent

B) Une histoire indispensable

- A la ligne 68 : « des sciences politiques et sociales, qui sont encore en voie de formation »

apparition pendant le siècle de l'histoire

- A la ligne 71 : « l’observation directe des phénomènes sociaux ne suffit pas à constituer ces sciences, il faut y joindre l’étude du développement de ces phénomènes dans le temps, c’est-à-dire leurs histoires. »

interdépendance de l'histoire et de ces autres sciences

- A la ligne 54 : « C’est une illusion surannée de croire que l’histoire fournit des enseignements pratiques pour la conduite de la vie »

refus du déterminisme

- A la ligne 59 : « L’histoire fait comprendre le présent […] elle explique les origines de choses actuel »

devoir de mémoire

- A la ligne 61 : « reconnaissons qu’elle n’offre pas […] un intérêt égal : il y a des générations lointaines dont les traces ne sont plus visible »

prédominance de l'histoire contemporaine

- les documents

- la division du travail

- un outil intellectuel

C) " Instrument de culture intellectuelle"

Bibliographie

- G.BOURDE et H.MARTIN, Les écoles historiques, 1997

-C-O.CARBONELL et J.WALCH, Les sciences historiques, de l’Antiquité à nos jours, 1994

-C-V.LANGLOIS et C.SEIGNOBOS, Introduction aux études historiques, 1898

- A la ligne 74 : « le principal mérite de l’histoire est d’être un instrument de culture intellectuelle »

culture générale

- A la , ligne 76 : « la pratique de la méthode historique d’investigation […] est très hygiénique pour l’esprit, qu’elle guérit de la crédulité »

remède à la naïveté

- A la ligne 79 : « prépare à comprendre et à accepter des usages variés ; en faisant voir que les sociétés se sont souvent transformées […] et guérit de la crainte des transformations »

voeu de tolrance

- Aux lignes 81 à 84 : « faire comprendre le processus des transformations humaines par les changements d’habitudes […] préserve de la tentation d’expliquer par des analogies biologiques […] l’évolution des sociétés […] sous l’action des mêmes causes que l’évolution animale »

Darwin ?