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Chez des personnes ayant développé une forme modérée de la maladie (Covid 19), sans besoin d'hospitalisation ou de réanimation, une réponse antivirale typique et réussie a été confirmée par la recherche :
Presque tous les patients ont produit des lymphocytes T cytotoxiques
On observe une réponse solide des plasmocytes qui contribuent à la production d’anticorps chez tous les participants
Comment les effecteurs de la réponse immunitaire adaptative (plasmocytes et lymphocytes T cytotoxiques sont-ils produits ?
Comment expliquer leur coopération au cours de la réponse adaptative ?
L’ensemble de ces effecteurs ne doivent leur efficacité que grâce à une coopération entre les lymphocytes
Les LTc ,issus des LT CD8 activés et différenciés, peuvent ainsi faire la distinction entre cellules infectées et cellules saines
Les plasmocytes, issus des LB activés et différenciés sécrètent des anticorps dans le sang (séroposivité), ce qui neutralise l'agent infectieux.
Un antigène, plusieurs épitopes reconnus par des anticorps spécifiques
La réponse adaptative met en jeu des cellules spécialisées, les lymphocytes et des molécules, les anticorps , qui apparaissent dans l’organisme quelques jours après l’infection (délai), alors que la réponse innée est immédiate.
C’est elle qui permet la diminution de la charge virale et donc l’élimination de l’agent pathogène. Il existe trois types de lymphocytes (LB, LT CD4 et LT CD8) différant pas leurs molécules de surface, qui doivent coopérer pour permettre l’élimination d'un pathogène.