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Nous percevons spontanément ce tableau comme un beau paysage. Le peintre joue magistralement avec la lumière : ciel limpide devenant légèrement brumeux à l'horizon, jeux d'ombre et de lumière sur les personnages et les animaux. Mais si l'ambition de Claude Lorrain consiste à construire un paysage idéalisé, il a placé à gauche du tableau une scène empruntée à la mythologie grecque et très connue à l'époque : le jugement de Pâris. Pâris, fils du roi de Troie Priam, gardait les troupeaux sur le mont Ida. Trois déesses apparaissent : Aphrodite, Héra et Athéna. Elles cherchent un juge, sur les conseils de Zeus, pour les départager dans un concours de beauté. Héra promet à Pâris la souveraineté sur l'Asie et l'Europe, Athéna, la gloire des guerriers, et Aphrodite, la main de la plus belle des femmes. Ce fut à cette dernière que Pâris offrit la pomme d'or (la pomme de la discorde) qui devait revenir à la plus belle. Mais, jalouses de n'avoir point été choisies, Athéna et Héra témoignèrent à l'avenir, d'une haine farouche à l'égard du Troyen Pâris et protégèrent les Grecs.
Le tableau représente le port du Havre dans la brume du matin. Mais Monet ne s'intéresse pas au motif concret. Il veut saisir l'instant présent, c'est-à-dire une réalité fugace qui aura déjà changé une heure plus tard. La lumière joue un rôle essentiel. Il s'agit de suggérer une impression ou une émotion captée par l'œil humain. Les touches de peinture sont visibles, l'utilisation du flou est systématique, le dessin n'existe pas : les barques sont réduites à quelques taches sombres.
Le travail de Nils Udo
Le travail de Robert Smithson