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CONCLUSION
La broncho-pneumopathie d’inhalation ; ou le syndrome de Mendelson, plusieurs noms ont été donnés pour décrire une complication grave et heureusement non fréquente qui est redoutée lors d’un acte anesthésique chez un patient dit « estomac plein ».
Un « estomac plein » est défini par un volume gastrique supérieur à 0,4 ml/kg ou 25ml avec un pH inférieur à 2,5. Il est primordial dans sa prise en charge de connaitre les situations à risque afin de prévenir une éventuelle inhalation qui pouvant aggraver le pronostic vital du patient, déjà altéré.
La fréquence du syndrome de Mendelson est difficile à préciser, probablement, largement sous-estimée. Le processus d’inhalation passe inaperçu. Cependant le risque zéro n’a jamais existé et nous ne pouvons pas se permettre de se laisser être surpris par cet incident.
Une attitude préventive avec une prise en charge adéquate se fut obligatoire afin de permettre de diminuer d’une façon remarquable l’incidence ou la sévérité de cette complication. La prévention de la broncho-pneumopathie d’inhalation repose sur des requises pré, per et postopératoire, commençant
par l’identification obligatoire des patients à « estomac plein ».
Quand elle est possible, l’anesthésie locorégionale est la meilleure technique pour réaliser une intervention chirurgicale chez un sujet à « estomac plein ». Ce n’est hélas pas toujours le cas. On doit alors réaliser une anesthésie générale qui est constituée d’une préoxygénation, une séquence d’induction rapide comprenant associée à une pression coracoïdienne chez un patient ayant effectué sur lui une aspiration gastrique et ayant reçu une prémédication.
Enfin, une inhalation pulmonaire peut engendrer plusieurs complications allant jusqu’au décès du patient, alors :
« Il vaut mieux raisonner par excès plutôt que de se laisser surprendre ».
INTRODUCTION
SUGGESTIONS
On propose les suggestions et les recommandations suivantes :
HYPOTHESES
Analyse globale
D’après l’analyse du questionnaire adressé aux auxiliaires médicales en anesthésie et réanimation on constate les éléments suivants:
- Une prémédication adéquate et bien pratiquée.
Question N06:
Pendant la période préopératoire, quelle est l’objet qui vous recherchez par ordre ?
Tableau N06:
Question N09 :
D’après vous, est ce que le jeune préopératoire est un facteur de prévention contre la régurgitation ?
Tableau N09 :
Lieu d'enquête :
L'étude a été menée au niveau de bloc operatoire de l'EPH de Bou-saâda.
Question N04 :
Durant votre pratique professionnelle la survenue d’inhalation bronchique est :
Tableau N04:
Interprétation :
75%de la population qui a répondu le jeûne est un facteur de prévention contre la régurgitation.
25% de la population qui a répondu le jeûne n’est pas un facteur de prévention contre la régurgitation.
Si non pourquoi ?
Les minorités des personnes qui ont répondu « non » disent qu’il est inefficace, pour empêcher un
reflux gastriques sans des compléments comme la prémédication.
Interprétation :
La majorité a répondu "la survenue de ce risque et rare" mais reste complication grave mis en jeu le pronostic vital et une minorité a répondu la survenu est fréquent.
Interprétation :
Les questionnés ont répondu qu’il faut assurer le jeûne en premier lieu et de détecter le type de prémédication puis en deuxième intérêt de classer les patients selon les scores et en dernier étape
de rechercher les antécédents.
CHAPITRE III PRISE EN CHARGE ANESTHESIQUE
I. Phase préopératoire :
II. Phase per opératoire :
III. Phase post opératoire.
CHAPITRE II: ESTOMAC PLEIN ET SYNDROME DE MENDELSON
I. L'estomac plein: considéré comme situation à risque tout patient ayant au moment de l’induction anesthésique un volume gastrique résiduel supérieur à 0,4ml/kg, dont le pH est inférieur à 2,5.
II. Syndrome de Mendelson: le syndrome de Mendelson ou d’inhalation bronchique est une inflammation pulmonaire qui résulte de la pénétration dans les bronches et les poumons de liquide gastrique, par l’absence ou perte des réflexes de protection des voies aérienne, lors de l’anesthésie.
DEUXIEME PARTIE: LA PARTIE PRATIQUE
Pour confirmé ou infirmé notre hypothèses nous avons procédé à un questionnaire pratique a été distribué aux AMAR de l'EPH de BOUSAADA.
Période d'enquête :
L’enquête s’est déroulée sur deux (02) périodes: 1ere période 04 Juin 2023 jusqu’au 29 Juin 2023 et : 2eme période : 26 Mars 2023 jusqu’au 06 Mai 2023.
Question N14:
Pensez-vous qu’une expérience professionnelle est nécessaire pour confronter l’inhalation bronchique ?
Tableau N14:
Question N11 :
Considérez-vous la manœuvre de Sellick comme déterminante dans la crush-induction ?
Tableau N11 :
Question N10:
Etes-vous régulièrement amené à pratiquer l’induction à séquence rapide chez les sujets à risque ?
Tableau N10 :
Population cible :
Les AMAR qui pratiquent au niveau du bloc opératoire dont le nombre est 16 AMAR.
Interprétation :
La majorité de la population cible pense que la manœuvre de SELLIK est déterminantes dans la crush induction. Les autres pensent cette technique est gênante pour l’intubation, est inefficace pour protéger les voies aériennes ou peut provoquer la toux et ainsi rendre l’intubation plus difficile.
Interprétation :
- La majorité des personnes interrogées pensent la prise en charge apprendre avec l’expérience.
- 37% disent qu’il n’est pas une nécessité d’expérience pour confronter une inhalation
Un anesthésiste dit : « on ne confronte pas bien que ce que l’on survenue beaucoup » c’est l’esprit des explications donnés.
Interprétation :
La grand majorité des professionnels interrogés constaté qu’il n y a pas une vraie pratique de l’ISR.