Les grandes auteures québécoise à connaître

Le Coin du feu, 1893-1896

Journaliste, écrivaine, poète, dramaturge, chroniqueuse et bibliothécaire.

Première bibliothécaire de la Ville de Montréal.

1800 textes dans une dizaine de journaux, sous plusieurs pseudonymes.

Elle milite pour l’éducation obligatoire et l’avancement de la condition des femmes.

En 1888, elle obtient la médaille de bronze en littérature décernée par Lady et Lord Stanley, alors gouverneur général du Canada.

Journal Les Débats.

Colombine ou Musette

Journal littéraire L’Étincelle

Journaliste, chroniqueuse, conférencière, elle fut l'une des premières dans l'histoire de Montréal à se distinguer en tant qu'écrivaine et femme de lettres.

Commencé sa carrière au Franco-Canadien.

L'Opinion publique, Le Journal du dimanche, Le Canada artistique,

L'Électeur, Le Journal de Françoise et La Patrie.

Droits des femmes dans la société et contes pour enfants.

Fonde en 1892 l'Œuvre des livres gratuits et, en 1893, la revue Le Coin du feu.

Pseudonymes Météor et Marie Vieuxtemps

Directrice du Conseil national des femmes, vice-présidente du Women's Canadian Club, membre du Montreal Local Council of Women (MLCW) et du Victorian Order of Nurses.

1896, un concours littéraire pour les jeunes filles de la province.

Milite pour l'accès des jeunes filles à l'enseignement supérieur et pour l'entrée des femmes dans les professions libérales.

Participe à la fondation du Comité des dames patronnesses de la Société Saint-Jean-Baptiste en 1902 et de la Fédération nationale SaintJean-Baptiste en 1907.

Marie Arzélie Éva Circé-Côté (1871-1949)

Joséphine Marchand-Dandurand (1861-1925)

Germaine Guèvremont (1893-1968)

L'une des figures de fondatrice de la littérature québécoise.

Se fait connaître par son roman Le Survenant et Marie-Didace.

Le Survenant à la radio et à la télévision.

Famille d'écrivains.

Apprend le métier d’écrivain par son cousin, Claude-Henri Grignon.

Études primaires à Sainte-Scholastique, Saint-Jérôme et Lachine avant de quitter pour le Loretto Abbey de Toronto, où elle termine des études en anglais et en piano.

Entre au Courrier de Sorel et au journal anglais The Gazette, en 1926. C'est le début de sa carrière journalistique.

Sténographe et secrétaire aux Assises criminelles.

Elle reçoit le prix Duvernay de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal, le prix David de la province de Québec, le prix Sully-Olivier de Serres, la médaille de l'Académie canadienne-française. Elle devient membre de cette même académie et fait aussi partie du conseil de la Société des écrivains canadiens.

Traduction de ses romans pour les Américains par Eric Sutton en 1950.

En 1964, livre de souvenirs, Le Premier Miel, scénario d'un film intitulé L'Adieu aux îles.

Elle publie des contes qui sont aussitôt rassemblés dans un recueil intitulé En pleine terre.

Sources

Joséphine Marchand-Dandurand:

https://www.histoiredesfemmes.quebec/pdf/Marchand.pdf

Germaine Guèvremont:

https://chsth.com/culture/litterature/germaine_guevremont.html

Maria Arzélie Éva Circé-Côté:

Journal littéraire L’Étincelle 1902

https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/eva-circe-cote

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