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Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d’une pneumonie. Qui lui sauva la vie, cette fois ?… La pénicilline.
Comment s’appelait le noble ?
Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.
Le 3 septembre 1928, il enquêtait sur les propriétés des staphylocoques. Il était déjà bien connu à cette époque en raison de ses premières découvertes et il avait la réputation d'être un chercheur remarquable mais négligent ; il oubliait le plus souvent les cultures sur lesquelles il travaillait et son laboratoire était d'habitude en plein désordre. Après des grandes vacances, il remarqua que beaucoup de ses boîtes de culture avaient été contaminées par un champignon où les bactéries ne s'étaient pas développées. Il isola un extrait de la moisissure, l'identifia correctement comme appartenant à la famille du pénicillium et appela cet agent pénicilline.
- C’est votre fils? demanda le noble.
- Oui, répondit fièrement le fermier.
- Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d’offrir à votre fils la même éducation qu’à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu’il sera un homme duquel tous deux seront fiers.
Et le fermier accepta.
Naquit dans une ferme de Lochfield près de Darvel dans l'East Ayrshire en Écosse. Il était le troisième enfant du second mariage de Hugh Fleming (1816–1888) avec Grace Stirling Morton (1848–1928). Son père mourut quand Alexander eut sept ans.
Il servit pendant la Première Guerre mondiale dans le Corps des Médecins Militaires. Avec nombre de ses collègues, il travailla dans les hôpitaux de campagne sur le front occidental en France. Entré avec le grade de lieutenant, il finit la guerre capitaine et obtint une citation militaire britannique. Pendant la Guerre, l'équipe produit un grand nombre d'articles attaquant l'emploi des antiseptiques pour traiter les blessures de guerre
1887
1901-1914
1881
1918
Un jour, alors qu’il père de Alexander tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d’un marécage proche.
Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l’Ecóle de Médecine de l’Hôpital Sainte-Marie de Londres.
Il obtint son M.B. puis son B.Sc. avec Médaille d'or de l'Université de Londres en 1908; il passa son diplôme de chirurgien en 1909 et devint chargé de cours à l'hôpital Sainte-Marie jusqu'en 1914.
Après la guerre, Fleming fit des recherches sur les agents antibactériens, parce qu'il avait été témoin de la mort d'un grand nombre de soldats, victimes de la septicémie. Malheureusement les antiseptiques tuaient les défenses immunologiques du patient plus vite qu'ils ne tuaient les bactéries qui l'avaient envahi.
Pendant la Première Guerre mondiale, la plupart des médecins militaires n’en continuèrent pas moins à utiliser des antiseptiques, même dans les cas où leur usage aggravait l'état des patients.
Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu’à la taille dans le marécage, qui criait apeuré et cherchait à se libérer.
Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.
Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.
Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.
- Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils!
- Je ne peux accepter de paiement pour ce que j’ai fait, répondit le fermier écossais.
Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.