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Pour commencer ce voyage, voici le bâtiment plus communément connu sous le nom de centre d’expositions du centre administratif de Bahia. Situé à Salvador de Bahia au Brésil, il est conçu en 1974 par l’architecte brésilien Joao Filgueiras Lima. Cet amphithéâtre a été conçu pour accueillir au moins 50 personnes. Construit entièrement de béton, le bâtiment est surélevé de deux mètres au-dessus du sol. Au centre du bâtiment se trouvent des tours situées sur les côtés nord et sud de la structure. Les deux tours supportent le poids de l'ensemble, grâce à quatre mâts fins qui sont fixés à la structure de chaque côté. Les tours mesurent quatre mètres de diamètre à la base. L’une des tours possède un ascenseur, tandis que l’autre contient des escaliers menant au sommet des tours. Il est évident que le bâtiment a été conçu pour ressembler à un pont, même si l’on peut voir une sorte de pyramide. L’ensemble de la construction mesure 171 pieds de long et 30 pieds de large. La structure dispose également d’un sous-sol. Les fenêtres offrent suffisamment de lumière solaire pour éclairer le vaste hall d’exposition. Ainsi, le bâtiment sert de centre d’exposition à la ville de Salvador.
Pour commencer ce voyage, voici le musée d’art contemporain de Niteroi. Situé à Niteroi à Rio de Janeiro au brésil, il est réalisé dans les années 1991 à 1996 par l’architecte Oscar Niemeyer. Son idée pour cette conception lui est venue spontanément, la terre était étroite et entourée par la mer et la solution lui est venue naturellement. Ainsi est devenu un musée qui se développe depuis la terre et grandit continuellement pour finir circulaire pour finalement créer avec la nature une fleur dans la roche. Non seulement le musée se dresse sur la falaise comme un phare symbolique. Également, le bâtiment est souvent comparé à une forme de soucoupe volante d’un ovni. Quant à l’espace, le bâtiment se compose d’un étage de semi-enterré et un corps supérieur qui se compose de trois niveaux. Soit, le rez-de-chaussée pour stocker les œuvres et un restaurant avec une mince fenêtre horizontale qui s’ouvre sur le long de la façade pour permettre de profiter de la baie. Soit au premier niveau, une fenêtre entourant l’ensemble du volume de la salle d’exposition à 393,13 mètres carrés. Soit, l’entresol divisé en plusieurs petites salles pour un total de 398.02 mètres carrés. Puis au deuxième étage il y a une galerie avec un total de 697,40 mètres carrés d’exposition. En outre, la construction a consommé 3,2 millions de mètres cubes de béton, assez pour construire un immeuble de 10 étages. La couverture circulaire a reçu un traitement thermique et d’étanchéité. Ainsi, les poutres ont été construites avec du béton précontraint. Pour la finition de plancher, les chambres ont été recouvertes avec 3000 mètres carrés de moquette bleue.
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Du point de vue technique et matériel, l'utilisation exclusive du béton démontre l'ingéniosité de Lima dans la manipulation de ce matériau pour créer des formes et des structures inhabituelles.
Esthétiquement, la structure présente une harmonie entre la forme organique du bâtiment et son environnement. Les fenêtres bien positionnées permettent une luminosité naturelle, offrant ainsi un éclairage optimal pour les espaces d'exposition.
Symboliquement, ce centre d'expositions offre à la ville de Salvador un espace fonctionnel pour exposer l'art et la culture. Toutefois, son apparence singulière peut être interprétée de différentes manières, ce qui lui confère une identité artistique et architecturale unique.
Mon jugement personnel se penche vers l'appréciation de cette œuvre pour son audace architecturale très originale pour sa forme particulièrement intrigante.
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Ce qui me fascine du Musée d’Art contemporain de Niteroi, c'est l'intégration organique avec son environnement. Niemeyer a su exploiter la topographie complexe du site, créant une structure qui semble émerger naturellement de la terre pour évoquer la forme d'une fleur ou même d'une soucoupe volante. Cette audace architecturale se mêle à une fonctionnalité remarquable : les différents niveaux du musée offrent des espaces d'exposition variés, permettant une expérience immersive de l'art contemporain.
Sur le plan technique, l'utilisation de 3,2 millions de mètres cubes de béton, bien que colossale, a permis la réalisation d'une structure robuste et durable. Les finitions thermiques et d'étanchéité sur la couverture circulaire témoignent de la minutie accordée aux détails techniques. Cependant, l'empreinte environnementale de l'utilisation massive de béton mérite une réflexion critique, compte tenu de son impact écologique.
Esthétiquement, la géométrie fluide et les lignes courbes du bâtiment contrastent magnifiquement avec le paysage rocheux environnant. Symboliquement, ce musée devient un repère architectural emblématique de la région, invitant les visiteurs à découvrir l'art dans un cadre à couper le souffle.
Mon jugement personnel penche largement vers l'admiration de cette œuvre incroyable et original.
Et puis, voici le palais de l’Assemblée législative de Chandigarh. Situé à Chandigarh à Pendjab-Haryana en Inde, il est réalisé dans les années 1951 à 1965 par l’architecte Le Corbusier. Le Corbusier démontre sa maîtrise du béton, tout en réaffirmant sa conception de l’architecture comme un élément fiscal de la nature, et qui s’harmonise avec le contraste. Les deux façades aux extrémités sont reliées spatialement par un portique formé de trois grandes feuilles de béton peint. Ce bâtiment, à l’extrémité nord-ouest, aligné sur l’axe du Capitole à 38 m de haut à son point culminant et se compose d’un bloc rectangulaire, deux chambres législatives, les formes curvilignes et reliées par un hall d’accueil. L’accès se fait par un pont sur un étang qui reflète les grandes colonnes du portique. Les formes utilisées sont d’horizons très divers. La couverture des assemblées législatives est l’aspect le plus important de la construction, formée par un prisme pyramidal dans le cas de la salle du conseil et un paraboloïde sculptural hyperbolique dans la Chambre d’assemblée. Autour de la place, il y a un grand parasol en béton, dont la monumentale forme de patine qui se reflète sur l’eau, une ressource utilisée par Le Corbusier pour donner de la légèreté au bâtiment, ce qui donnait l’impression d’un grand navire. Le Corbusier a pour le béton, quelque chose de raisonnable dans un pays pauvre frais du traumatisme de la colonisation et de la partition, mais sa première pensée avait été fixée dans la brique. Le Corbusier a déclaré que la grande quantité de bois de coffrage nécessaire pour fabriquer des panneaux de métal et de textures, qui sont devenus la porte ouverte vers "une architecture moderne magique", n'était pas suffisamment anticipée, révélant ainsi "la splendeur accessible du béton armé".
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Sur le plan technique, les innovations structurelles et la diversité des formes utilisées démontrent la maîtrise de Le Corbusier dans l'utilisation créative du béton. Les éléments comme le prisme pyramidal et le paraboloïde sculptural hyperbolique dans les salles législatives témoignent de sa recherche constante de nouvelles formes expressives.
Esthétiquement, l'utilisation du béton comme matériau principal offre des nuances uniques de légèreté et de grandeur, notamment à travers le grand parasol en béton reflété sur l'eau, donnant à l'ensemble une allure de navire majestueux. Cette esthétique se marie à la symbolique de renouveau et de modernité, relevant le défi de créer quelque chose de nouveau dans un pays marqué par des traumatismes historiques.
Personnellement, j'apprécie l'approche novatrice de Le Corbusier qui a su utiliser le béton non seulement comme matériau de construction, mais également comme une toile pour exprimer une architecture moderne magique. Malgré cela, cette œuvre demeure un témoignage puissant de l'ingéniosité et de la vision de son créateur, ajoutant une richesse culturelle et artistique à Chandigarh.
Pour finir, voici le monument bulgare de bouzlouja. Situé à Zazanlak de Bulgarie, il est réalisé entre les années 1974 à 1981 par l’architecte Georgi Stoilov. Cet édifice était conçu à la gloire du communisme. Le monument bulgare de Bouzloudja n'est pas rénové ni restauré, mais uniquement sauvegardé de manière à ne pas se délabrer davantage. À l'heure actuelle, il est protégé par une équipe de l'université technique de Munich. L'État bulgare a édifié ce monument, inauguré en 1981 à l'occasion de la célébration des 1300 ans de la fondation de l'État, pour rendre hommage au mouvement socialiste du pays. Après la chute du gouvernement en 1989/90, le monument s'est progressivement délabré. Le béton à corroder, les mosaïques gigantesques qui glorifient l'Empire soviétique sous la coupole d'un diamètre de 60 mètres ont perdu leurs couleurs éclatantes et la coupole fendue par endroits laisse entrevoir le ciel. De plus, cette icône de l'architecture socialise de l'Europe, de l'après-guerre est de plus en plus exposée au vandalisme, certainement aussi parce qu'elle rappelle des souvenirs douloureux à de nombreux Bulgares. Après une enfilade de pièces où pénètre de plus en plus de lumière, l’arrivée par un escalier sous le dôme central signe sa gloire. L’architecte dit s’être inspiré de la forme des tombeaux thraces retrouvés dans la région. L’aspect esthétique de l’architecture et des mosaïques est souligné, de sorte qu’émerge la conscience d’un patrimoine à préserver.
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Esthétiquement, malgré sa décrépitude actuelle, le monument conserve une beauté et une grandeur saisissantes, avec des références architecturales aux tombeaux thraces de la région. Cette esthétique attire l'attention sur la nécessité de préserver ce patrimoine architectural et artistique, même s'il rappelle une période controversée de l'histoire.
Mon jugement personnel sur l'admiration pour l'ambition artistique et architecturale de l'époque reste un monument d’une splendeur inouï. Ce monument, bien qu'associé à une période politique spécifique, reste un témoignage tangible de l'histoire et de la culture bulgares, méritant une attention pour sa préservation et sa signification dans le contexte social et historique.