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Oct 2018 -
Jul. 2019
Voici les thèmes qui seront abordés cette année
Thème 1 : La question démographique et l’inégal développement
Thème 2 : Des ressources limitées à gérer et à renouveler
Thème 3 : Prévenir les risques, s’adapter au changement global
Rappel des thèmes des classe antérieur et introduction au nouveau thème.
Problématique
Quels sont les effets de la croissance démographique sur les sociétés et sur les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Evaluation le mercredi 17/10/2018
a. A. Une population mondiale en forte croissance
Depuis les années 1950, la population mondiale a fortement augmenté. En 2016, plus de 7 milliards d’hommes vivent sur la Terre. Selon les projections, la population mondiale devrait atteindre 9 milliards d’habitants en 2050.
La croissance démographique varie selon les régions du monde. Les foyers de population d’Asie du Sud et d’Afrique ont une croissance forte. La natalité y est élevée, alors que la mortalité baisse.
Les pays d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie de l’Est ont une croissance faible, qui s’explique par l’amélioration des conditions de vie (accès à l’information et aux soins, scolarisation). Le nombre d’enfants moyen par femme y est bas. La population augmente peu voire diminue.
Copiez le vocabulaire de p. 220
Dans vos cahier, en binome, faites l'activité de p.207
Lecture p. 208-213
Faire activité 209.
b. Les défis d'une population plus nombreuse
La forte croissance démographique est un défi dans les pays pauvres ou émergents. La croissance de la population nécessite de nouveaux besoins : il faut nourrir, loger, éduquer, fournir un emploi à des populations jeunes.
La forte croissance démographique peut provoquer des tensions et des conflits autour du partage des ressources.
Les habitants des campagnes densément peuplées migrent en ville ou vers des fronts pionniers. Les nouveaux urbains se concentrent dans des bidonvilles, où les conditions de vie sont difficiles. La pollution se développe dans les grandes villes.
Les régions de faible croissance démographique, comme les pays européens, le Japon ou la Chine, doivent faire face à un vieillissement de leur population, ce qui pose le problème du renouvellement de la population.
Lire p.208-215
Faire activité 211
Problématique
Quelles sont les principales inégalités de richesse et de développement dans le monde ?
Dans ce chapitre, je vais :
Faire l'activité sur page 231
Devoir activité p. 233
Vocabulaire 232-238
a. La répartition de la richesse dans le monde
b. Mesurer la richesse et la pauvreté
Le niveau de développement d’un pays est mesuré par le PIB (développement économique) et par l’IDH (développement humain).
Dans les pays riches, des systèmes éducatifs et de protection sociale performants ainsi que la qualité des services de santé assurent aux habitants un niveau de développement élevé.
Ces services sont absents ou insuffisamment développés dans les pays pauvres
Problématique
Comment assurer les besoins de la population mondiale sans surexploiter les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Evaluation le lundi 21/01/2019
A. L’eau, une ressource essentielle
a. Une ressource inégalement répartie
L’eau douce représente 3 % de l’eau disponible sur la Terre. L’eau est une ressource abondante et renouvelable : il n’y a pas de pénurie d’eau douce à l’échelle mondiale.
La ressource en eau est inégalement répartie dans le temps et dans l’espace. Les régions qui associent un climat présentant des déficits de précipitations (aridité par exemple) à une importante densité de population font face à des pénuries.
À l’échelle mondiale, une part importante de la population n’a pas accès à une eau potable, ce qui pose de graves problèmes sanitaires. Il s’agit pour l’essentiel des habitants des pays pauvres .
Mercredi
Activité p 259
Apprendre la carte 260-261
Vendredi
Vocabulaire 250-260
Activité 260
b. Des capacités différentes à mobiliser la ressource
La maitrise de l’eau par les hommes, par exemple l’irrigation, est ancienne et se lit dans les paysages. Les techniques permettent aujourd’hui de construire d’immenses barrages pour réguler les fleuves, de transférer l’eau sur des centaines de kilomètres, de dessaler l’eau de mer.
L’importance des aménagements liés à l’eau dépend du niveau de richesse et de développement du pays.
a. Des besoins en énergie qui augmentent
La demande mondiale en énergie a fortement augmenté à partir du XIXe siècle. Cela s’explique par la forte croissance démographique, par l’élévation du niveau de vie des populations et par la transformation des modes de vie. La consommation d’énergie devrait encore doubler d’ici 2030.
L’énergie est un bon indicateur des inégalités de développement. Les plus fortes consommations d’énergie par habitant s’observent aux États-Unis et au Canada. Dans les pays en développement et émergents, 1,5 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité.
b. Des ressources en voie d’épuisement
La production d’énergie repose majoritairement sur les énergies fossiles (charbon et hydrocarbures). Le pétrole est l’énergie la plus consommée au monde.
Ces ressources fossiles ne sont pas renouvelables à l’échelle du temps humain. Même si toutes les réserves ne sont pas connues, le risque d’épuisement des énergies fossiles existe à moyen terme.
Les énergies fossiles sont, de plus, les principales causes d’émissions de CO2, un des gaz à effet de serre. Elles sont l’une des causes à l’origine du réchauffement global (chapitre 13).
c. Une ressource menacée
À l’échelle mondiale, l’agriculture est l’activité la plus consommatrice en eau. Avec l’urbanisation croissante, la consommation des villes augmente rapidement.
Pour répondre aux besoins croissants des populations, les hommes surexploitent la ressource. La qualité de l’eau se dégrade. Les pollutions d’origine agricole, urbaine ou industrielle sont multiples.
Depuis les années 1970, une gouvernance mondiale tend à s’imposer. À l’échelle locale, des campagnes de sensibilisation visent à faire évoluer le comportement des consommateurs.
Copiez le vocabulaire de p. 220
Dans vos cahier, en binome, faites l'activité de p.207
Lire p.208-215
Faire activité 211
Lecture p. 208-213
Faire activité 209.
Problématique
Comment nourrir une population mondiale en forte croissance, en préservant les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Faire l'activité sur page 273 et 275
Devoir
activité 4 p. 286
Vocabulaire 272-276
A. Une sécurité alimentaire qui n’est pas assurée
À l’échelle mondiale, la situation alimentaire s’est nettement améliorée. Un homme sur sept souffre aujourd’hui de la faim dans le monde, contre un homme sur trois en 1960.
On constate pourtant des fortes inégalités entre les différentes régions du monde. Dans les pays riches, la disponibilité alimentaire est de 3 300 kcal./hab./jour contre 2 100 kcal./ hab./jour dans les pays pauvres.
Dans plusieurs régions du monde, la sécurité alimentaire n’est pas assurée. La sous-alimentation affecte surtout les pays en développement. Elle touche particulièrement l’Afrique subsaharienne. Malgré les progrès réalisés grâce à la Révolution verte, l’Inde compte encore le plus grand nombre de personnes sous-alimentées.
B. L’agriculture intensive et ses limites
L’agriculture intensive a pour but d’augmenter les rendements. Elle repose sur des moyens techniques performants (mécanisation, utilisation d’engrais et de produits chimiques).
Si l’agriculture intensive a permis une forte croissance de la production, elle provoque des dégradations de l’environnement importantes.
C. Le développement d’une agriculture durable
Pour réduire les conséquences sur l’environnement et assurer une redistribution plus équitable de la production agricole, la mise en place d’une agriculture durable est nécessaire.
L’agriculture biologique limite l’utilisation de produits chimiques. Elle est en développement mais occupe une part encore réduite des surfaces agricoles.
Le commerce équitable concerne plus d’1,5 million de paysans dans le monde.
a. La répartition de la richesse dans le monde
Problématique
Quels sont les principaux effets du changement global ? Comment s’y adapter ?
Dans ce chapitre, je vais :
Décrire les effets possibles du changement global sur les territoires, à différentes échelles.
Présenter des politiques d’adaptation aux effets possibles du changement global.
Evaluation le Mercredi 03/04/2019
A. Qu’est-ce que le changement global ?
Le changement global désigne des phénomènes qui ont des conséquences à l’échelle mondiale. C’est le cas par exemple de la déforestation, ou du changement climatique.
Le changement climatique est un phénomène de modification du climat de la Terre. Il s’explique par des causes naturelles et par des causes humaines. En effet, les activités humaines (industries, transports, agriculture) génèrent des gaz à effet de serre (GES), qui participent au réchauffement de l’atmosphère.
Le changement climatique provoque d’autres phénomènes, comme l’augmentation de la fréquence des catastrophes naturelles, la hausse du niveau de la mer ou l’acidification des océans.
Mercredi
Activité p 295,297,299
Vendredi
Apprendre la carte 302-303
Vocabulaire 294-304
B. Des inégalités face aux effets du changement global
Les principaux pays contributeurs au changement global sont les pays développés et les pays émergents. Ce sont les pays qui émettent le plus de GES.
Les pays pauvres polluent peu. Ils subissent pourtant les effets du changement global. Du fait de leur faible développement, ils peinent à mettre en place des mesures pour s’adapter à certains de ses effets comme la désertification (doc. 2 p. 267). Leur résilience est plus limitée que celle des pays développés (étude de cas 2).
C. S’adapter au changement global
Face au changement global et à ses principaux effets, les sociétés humaines peuvent agir (étude de cas 1).
À l’échelle mondiale, les pays tentent de trouver des solutions (doc. 1 p. 266). En décembre 2015, à la COP21, 195 états ont adopté un accord qui prévoit de maintenir le réchauffement sous le seuil des 2° C par rapport aux niveaux préindustriels.
Les villes génèrent 80 % des émissions de CO2. À l’échelle locale (étude de cas 3), des politiques sont mises en place pour réduire les émissions de GES.
b. Des ressources en voie d’épuisement
La production d’énergie repose majoritairement sur les énergies fossiles (charbon et hydrocarbures). Le pétrole est l’énergie la plus consommée au monde.
Ces ressources fossiles ne sont pas renouvelables à l’échelle du temps humain. Même si toutes les réserves ne sont pas connues, le risque d’épuisement des énergies fossiles existe à moyen terme.
Les énergies fossiles sont, de plus, les principales causes d’émissions de CO2, un des gaz à effet de serre. Elles sont l’une des causes à l’origine du réchauffement global (chapitre 13).
c. Une ressource menacée
À l’échelle mondiale, l’agriculture est l’activité la plus consommatrice en eau. Avec l’urbanisation croissante, la consommation des villes augmente rapidement.
Pour répondre aux besoins croissants des populations, les hommes surexploitent la ressource. La qualité de l’eau se dégrade. Les pollutions d’origine agricole, urbaine ou industrielle sont multiples.
Depuis les années 1970, une gouvernance mondiale tend à s’imposer. À l’échelle locale, des campagnes de sensibilisation visent à faire évoluer le comportement des consommateurs.
Copiez le vocabulaire de p. 220
Dans vos cahier, en binome, faites l'activité de p.207
Lire p.208-215
Faire activité 211
Lecture p. 208-213
Faire activité 209.
Problématique
Comment nourrir une population mondiale en forte croissance, en préservant les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Faire l'activité sur page 273 et 275
Devoir
activité 4 p. 286
Vocabulaire 272-276
A. Une sécurité alimentaire qui n’est pas assurée
À l’échelle mondiale, la situation alimentaire s’est nettement améliorée. Un homme sur sept souffre aujourd’hui de la faim dans le monde, contre un homme sur trois en 1960.
On constate pourtant des fortes inégalités entre les différentes régions du monde. Dans les pays riches, la disponibilité alimentaire est de 3 300 kcal./hab./jour contre 2 100 kcal./ hab./jour dans les pays pauvres.
Dans plusieurs régions du monde, la sécurité alimentaire n’est pas assurée. La sous-alimentation affecte surtout les pays en développement. Elle touche particulièrement l’Afrique subsaharienne. Malgré les progrès réalisés grâce à la Révolution verte, l’Inde compte encore le plus grand nombre de personnes sous-alimentées.
B. L’agriculture intensive et ses limites
L’agriculture intensive a pour but d’augmenter les rendements. Elle repose sur des moyens techniques performants (mécanisation, utilisation d’engrais et de produits chimiques).
Si l’agriculture intensive a permis une forte croissance de la production, elle provoque des dégradations de l’environnement importantes.
C. Le développement d’une agriculture durable
Pour réduire les conséquences sur l’environnement et assurer une redistribution plus équitable de la production agricole, la mise en place d’une agriculture durable est nécessaire.
L’agriculture biologique limite l’utilisation de produits chimiques. Elle est en développement mais occupe une part encore réduite des surfaces agricoles.
Le commerce équitable concerne plus d’1,5 million de paysans dans le monde.
a. La répartition de la richesse dans le monde
L’énergie,l’eau : des ressources à gérer et à ménager
L’alimentation
Problématique
Comment assurer les besoins de la population mondiale sans surexploiter les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Evaluation le lundi 21/01/2019
A. L’eau, une ressource essentielle
a. Une ressource inégalement répartie
L’eau douce représente 3 % de l’eau disponible sur la Terre. L’eau est une ressource abondante et renouvelable : il n’y a pas de pénurie d’eau douce à l’échelle mondiale.
La ressource en eau est inégalement répartie dans le temps et dans l’espace. Les régions qui associent un climat présentant des déficits de précipitations (aridité par exemple) à une importante densité de population font face à des pénuries.
À l’échelle mondiale, une part importante de la population n’a pas accès à une eau potable, ce qui pose de graves problèmes sanitaires. Il s’agit pour l’essentiel des habitants des pays pauvres .
Mercredi
Activité p 259
Apprendre la carte 260-261
Vendredi
Vocabulaire 250-260
Activité 260
b. Des capacités différentes à mobiliser la ressource
La maitrise de l’eau par les hommes, par exemple l’irrigation, est ancienne et se lit dans les paysages. Les techniques permettent aujourd’hui de construire d’immenses barrages pour réguler les fleuves, de transférer l’eau sur des centaines de kilomètres, de dessaler l’eau de mer.
L’importance des aménagements liés à l’eau dépend du niveau de richesse et de développement du pays.
a. Des besoins en énergie qui augmentent
La demande mondiale en énergie a fortement augmenté à partir du XIXe siècle. Cela s’explique par la forte croissance démographique, par l’élévation du niveau de vie des populations et par la transformation des modes de vie. La consommation d’énergie devrait encore doubler d’ici 2030.
L’énergie est un bon indicateur des inégalités de développement. Les plus fortes consommations d’énergie par habitant s’observent aux États-Unis et au Canada. Dans les pays en développement et émergents, 1,5 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à l’électricité.
b. Des ressources en voie d’épuisement
La production d’énergie repose majoritairement sur les énergies fossiles (charbon et hydrocarbures). Le pétrole est l’énergie la plus consommée au monde.
Ces ressources fossiles ne sont pas renouvelables à l’échelle du temps humain. Même si toutes les réserves ne sont pas connues, le risque d’épuisement des énergies fossiles existe à moyen terme.
Les énergies fossiles sont, de plus, les principales causes d’émissions de CO2, un des gaz à effet de serre. Elles sont l’une des causes à l’origine du réchauffement global (chapitre 13).
c. Une ressource menacée
À l’échelle mondiale, l’agriculture est l’activité la plus consommatrice en eau. Avec l’urbanisation croissante, la consommation des villes augmente rapidement.
Pour répondre aux besoins croissants des populations, les hommes surexploitent la ressource. La qualité de l’eau se dégrade. Les pollutions d’origine agricole, urbaine ou industrielle sont multiples.
Depuis les années 1970, une gouvernance mondiale tend à s’imposer. À l’échelle locale, des campagnes de sensibilisation visent à faire évoluer le comportement des consommateurs.
Copiez le vocabulaire de p. 220
Dans vos cahier, en binome, faites l'activité de p.207
Lire p.208-215
Faire activité 211
Lecture p. 208-213
Faire activité 209.
Problématique
Comment nourrir une population mondiale en forte croissance, en préservant les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Faire l'activité sur page 273 et 275
Devoir
activité 4 p. 286
Vocabulaire 272-276
A. Une sécurité alimentaire qui n’est pas assurée
À l’échelle mondiale, la situation alimentaire s’est nettement améliorée. Un homme sur sept souffre aujourd’hui de la faim dans le monde, contre un homme sur trois en 1960.
On constate pourtant des fortes inégalités entre les différentes régions du monde. Dans les pays riches, la disponibilité alimentaire est de 3 300 kcal./hab./jour contre 2 100 kcal./ hab./jour dans les pays pauvres.
Dans plusieurs régions du monde, la sécurité alimentaire n’est pas assurée. La sous-alimentation affecte surtout les pays en développement. Elle touche particulièrement l’Afrique subsaharienne. Malgré les progrès réalisés grâce à la Révolution verte, l’Inde compte encore le plus grand nombre de personnes sous-alimentées.
B. L’agriculture intensive et ses limites
L’agriculture intensive a pour but d’augmenter les rendements. Elle repose sur des moyens techniques performants (mécanisation, utilisation d’engrais et de produits chimiques).
Si l’agriculture intensive a permis une forte croissance de la production, elle provoque des dégradations de l’environnement importantes.
C. Le développement d’une agriculture durable
Pour réduire les conséquences sur l’environnement et assurer une redistribution plus équitable de la production agricole, la mise en place d’une agriculture durable est nécessaire.
L’agriculture biologique limite l’utilisation de produits chimiques. Elle est en développement mais occupe une part encore réduite des surfaces agricoles.
Le commerce équitable concerne plus d’1,5 million de paysans dans le monde.
a. La répartition de la richesse dans le monde
Exposé sur la difference entre la malnutrition et la sous-nutrition
Le changement global et ses effets géographiques
Prévenir les risques technologiques et industriels
Projet
Problématique
Quels sont les principaux effets du changement global ? Comment s’y adapter ?
Dans ce chapitre, je vais :
Décrire les effets possibles du changement global sur les territoires, à différentes échelles.
Présenter des politiques d’adaptation aux effets possibles du changement global.
Evaluation le Mercredi 03/04/2019
A. Qu’est-ce que le changement global ?
Le changement global désigne des phénomènes qui ont des conséquences à l’échelle mondiale. C’est le cas par exemple de la déforestation, ou du changement climatique.
Le changement climatique est un phénomène de modification du climat de la Terre. Il s’explique par des causes naturelles et par des causes humaines. En effet, les activités humaines (industries, transports, agriculture) génèrent des gaz à effet de serre (GES), qui participent au réchauffement de l’atmosphère.
Le changement climatique provoque d’autres phénomènes, comme l’augmentation de la fréquence des catastrophes naturelles, la hausse du niveau de la mer ou l’acidification des océans.
Mercredi
Activité p 295,297,299
Vendredi
Apprendre la carte 302-303
Vocabulaire 294-304
B. Des inégalités face aux effets du changement global
Les principaux pays contributeurs au changement global sont les pays développés et les pays émergents. Ce sont les pays qui émettent le plus de GES.
Les pays pauvres polluent peu. Ils subissent pourtant les effets du changement global. Du fait de leur faible développement, ils peinent à mettre en place des mesures pour s’adapter à certains de ses effets comme la désertification (doc. 2 p. 267). Leur résilience est plus limitée que celle des pays développés (étude de cas 2).
C. S’adapter au changement global
Face au changement global et à ses principaux effets, les sociétés humaines peuvent agir (étude de cas 1).
À l’échelle mondiale, les pays tentent de trouver des solutions (doc. 1 p. 266). En décembre 2015, à la COP21, 195 états ont adopté un accord qui prévoit de maintenir le réchauffement sous le seuil des 2° C par rapport aux niveaux préindustriels.
Les villes génèrent 80 % des émissions de CO2. À l’échelle locale (étude de cas 3), des politiques sont mises en place pour réduire les émissions de GES.
b. Des ressources en voie d’épuisement
La production d’énergie repose majoritairement sur les énergies fossiles (charbon et hydrocarbures). Le pétrole est l’énergie la plus consommée au monde.
Ces ressources fossiles ne sont pas renouvelables à l’échelle du temps humain. Même si toutes les réserves ne sont pas connues, le risque d’épuisement des énergies fossiles existe à moyen terme.
Les énergies fossiles sont, de plus, les principales causes d’émissions de CO2, un des gaz à effet de serre. Elles sont l’une des causes à l’origine du réchauffement global (chapitre 13).
c. Une ressource menacée
À l’échelle mondiale, l’agriculture est l’activité la plus consommatrice en eau. Avec l’urbanisation croissante, la consommation des villes augmente rapidement.
Pour répondre aux besoins croissants des populations, les hommes surexploitent la ressource. La qualité de l’eau se dégrade. Les pollutions d’origine agricole, urbaine ou industrielle sont multiples.
Depuis les années 1970, une gouvernance mondiale tend à s’imposer. À l’échelle locale, des campagnes de sensibilisation visent à faire évoluer le comportement des consommateurs.
Copiez le vocabulaire de p. 220
Dans vos cahier, en binome, faites l'activité de p.207
Lire p.208-215
Faire activité 211
Lecture p. 208-213
Faire activité 209.
Problématique
Comment nourrir une population mondiale en forte croissance, en préservant les ressources ?
Dans ce chapitre, je vais :
Faire l'activité sur page 273 et 275
Devoir
activité 4 p. 286
Vocabulaire 272-276
A. Une sécurité alimentaire qui n’est pas assurée
À l’échelle mondiale, la situation alimentaire s’est nettement améliorée. Un homme sur sept souffre aujourd’hui de la faim dans le monde, contre un homme sur trois en 1960.
On constate pourtant des fortes inégalités entre les différentes régions du monde. Dans les pays riches, la disponibilité alimentaire est de 3 300 kcal./hab./jour contre 2 100 kcal./ hab./jour dans les pays pauvres.
Dans plusieurs régions du monde, la sécurité alimentaire n’est pas assurée. La sous-alimentation affecte surtout les pays en développement. Elle touche particulièrement l’Afrique subsaharienne. Malgré les progrès réalisés grâce à la Révolution verte, l’Inde compte encore le plus grand nombre de personnes sous-alimentées.
B. L’agriculture intensive et ses limites
L’agriculture intensive a pour but d’augmenter les rendements. Elle repose sur des moyens techniques performants (mécanisation, utilisation d’engrais et de produits chimiques).
Si l’agriculture intensive a permis une forte croissance de la production, elle provoque des dégradations de l’environnement importantes.
C. Le développement d’une agriculture durable
Pour réduire les conséquences sur l’environnement et assurer une redistribution plus équitable de la production agricole, la mise en place d’une agriculture durable est nécessaire.
L’agriculture biologique limite l’utilisation de produits chimiques. Elle est en développement mais occupe une part encore réduite des surfaces agricoles.
Le commerce équitable concerne plus d’1,5 million de paysans dans le monde.
a. La répartition de la richesse dans le monde
Présentation en groupe sur le changement climatique.