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Transcript

Je suis ...

Lucie

PONCE

Licence 2

Durant ce semestre au sein de la licence pluridiciplinaire, j'ai découvert l'UE "Estime de soi et autorégulation". Au fil des séances j'ai tenu à jour un carnet de bord. Celui-ci regroupe mes retours réflexifs sur les différents thèmes abordés durant les TD.

Cet écrit vous présente mon évolution d'estime de moi au cours de ce semestre grâce à tout ce qui a été dit en classe et qui a été mis à profit.

Je me livre à vous à travers mes émotions, mon estime de moi et ma motivation.

Ma présentation

PERFECTIONNISTE

Mes émotions se succèdent de façon assez intensive tout au long de la journée, particulièrement l'émotion de la tristesse et de la joie.

Elles ont des effets sur ma capacité de prise de décision. Certaines fois, mes choix ne correspondent pas à ce dont j'ai envie car mes décisions sont prises avec l'influence de mes émotions "excessives". Mon estime de moi et ma confiance en moi sont aussi influencées lorsque l'émotion de la tristesse m'envahit.

Dans la vie je suis une personne perfectionniste. J'aime que les actions que j'entreprents soient faites selon mon idee de la perfection. Je ne supporte pas la pression du temps et j'ai du mal à déleger mon travail par peur que ce ne soit pas fait comme je l'aurais immaginé. Je suis comme ça aujourd'hui car durant mon enfance, à l'école, je n'ai jamais rencontré de grosses difficultés et je me suis toujours dépassée pour m'améliorer et ne pas me contenter de mes acquis.

Cette presentation est la meilleure illusration possible pour montrer mon perfectionisme : j'ai passé une nuit entière a monter ma présentation afin qu'elle me correspondent et qu'elle soit parfaite.

HYPERSENSIBLE

Mon estime de moi ...

... par rapport

à mon

profil d'identité

En tant que perfectionnsite, j'ai du mal à me montrer douteuse de mon estime de moi.

Je veux renvoyer une image de moi sûre, bien que certaines fois elle se montre plus faible. Si je me dis mentalement que je ne m'estime pas, je ne serais pas productive et épanouie dans ma vie.

Je peux faire référence à la communication non violente. Avec moi même, j'utilise le langage girafe. Il me permet de me préserver physiquement et mentalement. Je m'écoute avec empathie, j'exprime mes besoins avec authenticité et j'écoute mon coeur. J'ai le besoin d'utiliser un langage non violent avec moi même afin de m'estimer. Intérieurement, j'exprime mes émotions et je me demande ce que je pourrrai arranger pour mieux me sentir les prochaines fois. Je m'écoute et me respecte.

Ma communication non violente envers moi même et mon profil d'identité me permettent de laisser une place au statut de l'erreur.

Pour la partie "psycorigide" perfectioniste de moi, l'erreur reste une peur. J'aime que le travail soit parfait et corresponde à mes attentes. Dans le domaine sportif, je peux contourner les règles et les consignes afin d'éviter de me retrouver façe à l'erreur. Aussi, dans une situation où je n'arrive pas à faire quelque chose et que mes amis, ma famille y arrivent je me sens déboussolée. L'esprit de compétition transforme l'erreur en échec. Je me donne à fond dans ce que j'entreprends et faits au mieux pour être à la perfection.

Finalement, je perds mes moyens et ma confinace en moi diminue.

Pour la partie "felxible" perfectioniste de moi, l'erreur est un facteur d'épanouissement. C'est contradictoire mais réel. Dans différents domaines, je ne perçois pas l'erreur comme un échec mais plutôt comme un apprentissage. J'arrive à avoir ce raisonement là lorsque je suis seule. Je me retrouve alors façe à une erreur et je prends le temps de me corriger et de me comprendre afin de m'améliorer par la suite. Je me perfectionne et la perfectioniste est comblée. Dans ce cas mon estime de moi est à son comble car, seule, je me corrige et m'améliore.

C'est un travail que j'exerce tous les jours car à la faculté j'ai remarqué les avantages du travail en groupe, de la mise en commun et du partage. Je vois une évolution depuis le début de la première année de licence. Je ne compte pas m'arrêter là, si je veux transmettre un jour à des enfants que l'erreur est humaine et qu'elle permet de s'améliorer il faut que moi-même dès à présent en fasse de même.

Le perfectionisme est alors pour moi à l'origine d'une perte ou d'une augmentation de confiance en moi.

Je dois rester vigilante à la place que je laisse à mon perfectionisme afin qu'il ne m'envahisse pas et qu'il reste bénefique pour moi.

... PAR RAPPORT A MA MOTIVATION

Mes parents et ma famille ont toujours contribué à la vision de mon estime de moi. Si aujourd'hui j'ose écrire et dire que je m'estime c'est grâçe à eux.

Ils m'ont toujours soutenu dans ce que je voulais entreprendre.

Ma motivation d'innovation m'a été présentée inconsciemment dès le plus jeune âge. J'ai eu la chance de pourvoir innover, être actrice de ma vie, de mon enfance afin que mon épanouissement soit maximal.

Je n'ai jamais eu peur de présenter des "projets" à ma famille par crainte de jugement. Nous sommes libres et c'est ce qui fait qu'aujourd'hui je me sente à l'aise avec l'innovation.

J'ai l'impression que cette euphorie d'innovation s'est affaiblie avec l'âge. Actuellement, je me sens moins en SM2. Je pars du principe que du fait que je vive chez mes parents je me dois d'écouter leurs conseils. Je dirai alors que je suis dans une motivation de sécurisation (SM1). J'adopte un profil d'aimable voulant éviter tout conflit et voulant que l'harmonie et la sérénité reignent dans toutes les situations.

En réflchissant, je me demande si je trouve pas une bonne excuse pour ne pas innover.

Mes parents sont-ils un frein à mon innovation ? Non, au contraire ils m'encourragent à entreprender de nouvelles choses. De plus, lors de prise de certaines décisions j'ose me montrer façe à l'avis général. Je me retrouve finalement dans une motivation de sécurisation parasitée par ma bonne excuse alors que je n'ai donc pas de raison de ne pas innover.

Je suis dans une période où je me consacre entièrement à mes études afin de réaliser mon rêve de devenir professeur des écoles. Venir à la fac n'est pas une conrainte pour moi, je me lève le matin pour m'améliorer et apprendre de nouvelles choses. Je me sens épanouie dans mes études et dans ma vie. Au sein de mes études je suis plutôt dans une motivation d'innovation dans le but de combler mon épanouissement personnel.

L'erreur est pour moi un facteur de motivation. Lorsque je me trompe j'évolue parceque j'arrive à me corriger et à comprendre mes erreurs. Dans le domaine scolaire, cette vision m'aide tous les jours car je ne dois pas voir l'erreur comme une défaite mais comme un coup de pouce pour mieux faire la porchaine fois. Ce n'est pas simple mais c'est un travail continu.

Je suis fière de moi de voir réellement une évolution. Mon estime de moi est importante et grandit lorsque je me rend compte que j'évolue et que je vois que ma motivation est toujours présente à travers mon projet professionnel.

Aussi, il serait important pour que j'arrive à mieux m'estimer que je m'implique avec mes sentiments et pas avec l'autre, autrement dit que je me détache de cette motivation par sécurisation. Pour ce fait il faudrait que des automatismes de paroles se mettent en place. La phrase "Si je me sens ... j'ai besoin de ..." est très parlante et concrète. Elle me permettrait d'être plus claire dans ma communication et je n'engagerai pas les sentiments de mon interlocuteur.

... PAR RAPPORT A mes

émotions

Comme je vous l'ai expliqué dans ma présentation, j'ai tendance à laisser beacoup, voire trop de place à certaines émotions, princialement la peur et la joie.

Certaines fois, je ne suis pas considérée à ma juste valeur car mes larmes coulent facilement, que ce soit des larmes de bonheur, de peur, de tristesse. Ce jugement est très compliqué à recevoir car je me sens incomprise et pointée du doigts. Cette situation à tendance à accentuer ma tristesse. Le regard des autres est dans cette situation le problème. Je ne me sens pas "normale". Mon estime et ma confiance en moi sont au bas de l'échelle.

Le regard des autres est un point important à illuminer dans mon estime. En effet, je porte attention au regard et à l'appréciation que les gens peuvent penser de moi. Cependant, je n'aime pas renvoyer cette image alors je montre au premier abbord une facette froide et détachée. C'est la perfectioniste qui parle et qui veut renvoyer une image d'elle parfaite. Lors d'un exercice en classe je me suis rendue compte que je n'arrivais pas à dire quels étaient mes points forts par peur du jugement des autres. Cette peur ne devrait pas être présente.

Pourquoi ne pas dire quels sont mes points forts ? Que peut-il m'arriver ?

Je me suis même rendue compte que je n'arrivais pas à me trouver des points forts, je trouve ça triste. Ne pas s'estimer et se rendre compte de qui l'on est par peur du regard des autres ... A partir de ce jour là, j'ai décidé de réellement changer : dire ce que je pensais des autres, de moi, me faire des retours sur mes comportements, m'appercevoir de mes évolutions et surtout me rendre compte que je peux m'estimer et être sûre de moi.

Quant à l'acceuil et la communication de mes émotions : un comportement contradictoire se présente. Comme je sais que certains sujets tel que la mort et la maladie me touchent et m'affectent particulièrement j'essaie d'éviter les situations de communication les mettant en avant ou bien de les accepter mais me détacher de mes émotions.

Une autre situation où je me détache de mes émotions est lorsque je veux cacher l'impact émotionnel de l'erreur sur moi. Dans ce cas, le rire et les vulgarités sont des opercules pour mes émotions de tristesse ou de joie. Je n'aime pas exposer au et en public ce que je ressens façe à l'erreur donc le rire ou bien le silence sont mes outils qui dissimulent mes émotions, c'est un comportement reflétant de mon profil d'identité de perfectioniste.

A l'inverse, j'apprécie de parler de mes expériences, partager mes connaissances, mes passions et mes plaisirs. Cette situation de communication accapare l'émotion de la joie car je me rapelle de bons souvenirs, de bons moments avec des personnes que j'aime. Dans ces cas mon estime de moi est complète car des personnes s'intéressent à moi, me donnent de l'importance et ces actions me touchent particulièrement. Je trouve intéressant de partager avec les autres à travers nos souvenirs lorsque les émotions se joignent car nous en apprennons plus sur l'autre.

Mes émotions sont le fruit de qui je suis.

Je pense qu'il est important que je les considère et que je leur laisse de la place sans pour autant qu'elles m'envahissent.

Ce point d'équilibre n'est pas facile à trouver : ne pas se détacher de ses émotions mais les aceuillir sans pour autant s'en empreigner.

Il est nécessaire pour que je puisse m'estimer à ma juste valeur.

Mon évolution

Un retour

Finalement, cette UE m'a permis de prendre du recul sur moi et de comprendre comment je pouvais améliorer mon estime et m'autoréguler.

Aujourd'hui je peux dire que ces exercices et ces TD m'ont fait évoluer. Je suis quelqu'un de plus posée et consciente. Je m'explique : le fait de parler de certains sujets et de me rendre compte de certains comportements m'a permis d'arriver à prendre du recul sur mes émotions, et de mieux m'estimer.

Mon estime n'est pas toujours totale mais je me suis bien rendue compte de ce qui pouvait m'empêcher de m'estimer et je travaille sur moi afin de m'améliorer.

Merci ...

Vous qui avez contribué à mon évolution, je tenais à vous remercier.

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