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Transcript

Klukohn et Parsons jettent les bases du fonctionalisme:

1. La société fonctionne comme un tout cohérent

2. La société possède sa propre structure

3. La société possèdes des institutions utilitaires

4. L'ordre des valeurs mène à l'ordre social.

La théorie de l'action de Parsons en 4 points

1. L'action sociale suppose un acteur

2. Une action sociale doit être orientée vers une fin

3.Une action a lieu dans un contexte particulier qui la

détermine

4. Il doit y avoir interdépendance entre l'acteur, son

contexte et les finalités qu'il vise.

CONSTAT: Toute conduite est motivée, guidée

par les significations que l'acteur attribue au monde.

Question centrale: Comment la société se tient-elle

ensemble malgré tout le chaos?

La société est "un ensemble de parties interreliées''.

Bronislav Manilowski - Un des pères fondateurs du

fonctionalisme

Selon lui, les institutions doivent répondre à des

besoins collectifs préçis.

Questionnement de base: Comment les institutions

intègrent-t-elles les individus dans

la société et comment assurent-elles l'ordre?

Selon Robert Merton, les institutions ont un rôle social

déterminant.

Ex: La famille exerce le rôle de socialisation et

de reproduction

Toutefois, les institutions ont des fonctions manifestes

(planifiées, voulues) et certaines

fonctions latentes (non planifiées, visant des buts

inavoués qui expriment une autre dynamique).

2 causes de la déviance selon Merton:

1.Un ensemble d'idéaux et de buts proposés par la

société qui influent sur nos désirs et nos aspirations.

2.Un ensemble de moyens acceptables et mis à la disposition

de chacun par la société pour atteindre ces idéaux et ces buts.

CONSTAT: Écart trop grand entre les idéaux et les moyens.

Lorsque l'écart est trop grandles normes s'affaiblissent.

L'approche critique (Marxisme)

Les structures capitalistes façonnent l'existence des individus. Selon Marx, ces structures sont responsables pour les problèmes sociaux et individuels dans la société.

Marx décrit la société capitaliste émergente en Angleterre. Marx critique cette société fondamentalement inégalitaire où la classe dominante minoritaire qui possède la majorité des richesses et des moyens de production (usine) cherche à accumuler des profits au détriment des conditions de vie et de travail de la classe ouvrière (le prolétariat).

Afin de garantir leur survie, les ouvriers doivent vendre leur force de travail aux bourgeois qui cherchent toujours à augmenter leur productivité.

Marx élabore sa théorie du conflit inhérent à la structure des classes sociales à partir de cet antagonisme qu'il observe entre le prolétariat et la bourgeoisie.

Cette lutte de classes est le moteur de toute société (homme libre-esclave, baron-serf, bourgeois-prolétaire).

Campeau - ''la société capitaliste (qui?) est incapable de satisfaire les besoins fondamentaux des individus''

Les individus se trouvent déshumaisés dans ce processus d'exploitation qui commercialise toutes les sphères de l'existence.

La bourgeoisie à qui appartient les médias d'information (journaux et émissions qui transmettent les idées importantes dans la société) peut efficacement propager des idées et des valeurs afin de justifier le mode de production capitaliste (importance d'un marché libre et d'un système basé sur la libre entreprise). La classe dominante cache ainsi les rapports d'exploitation qui assurent sa dominance sur le prolétariat.

CONSTAT: ''les humains ont une conscience qui ne réflète pas leurs conditions matérielles d'exixtence''.

Interactionnisme

L'approche interactionniste est influencée de la pensée de Weber qui place l'individu au centre de la compréhension de la société.

Selon Campeau, cette perspective considère que ''le fait social se construit au coeur d'une dynamique d'échange (interactions) entre les personnes, et à travers le sens que chaque individu donne à ses actions et à celles des autres.

On réfère ici à une perspective microsociologique qui traite la société de l'intérieur.

On considère que le tout de la société est composé de la multitude d'interactions entre les individus.

Le courant américain interactionniste a développé des méthodes telles que la méthode ethnographique et l'observation participante afin d'étudier les faits sociaux.

Erving Goffman et Harold Garfinkel sont deux auteurs américains qui ont jeté les bases de la pensée interactionniste.

Goffman conceptualise les règles que les individus suivent lorsqu'ils communiquent:

-les individus se comportent de manière prévisible afin de se conformer à la société

-ils utilisent la ruse et le respect afin de ne pas faire une scène, faire perdre la face ou influencer l'autre

-les individus se comportent en concordance avec le rôle auquel on s'attend d'eux

Garfinkel stipule que les individus se basent sur leurs expériences et leurs connaissances des autres afin d'orienter leur action.

CONSTAT: Selon Campeau: ''L'interactionnisme tente de dégager les règles et les enjeux des conflits, qui peuvent sembler anodins au quotidien, et de découvrir des comportements nouveaux.''

Identité

Définition (Campeau): Ensemble de référents matériels (passeport, permis de conduire), sociaux (travailleur, conjoint, parent) et subjectifs (amateur de golf, de ski, cuisinier, etc.) par lesquels un acteur social se défnit.

Selon Merleau-Ponty, nous sommes des êtres ''poly-identitaires'', c'est à dire que notre identité inclut plusieurs types d'identité (identité familiale, identité régionale, identité transnationale etc.).

L'identité n'est pas une réalité humaine qui reste la même, elle se construit progressivement au fil du temps selon les expériences et les bouleverements qui prennent place dans la vie de chacun.

L'identité se situe à la limite du lien dialectique (dans un renvoi constant) entre l'individu et la société.

L'identité se forme par le processus de personnalisation et de socialisation

Socialisation: ''Processus part lequel l'individu apprend et intériorise les éléments socioculturels de son milieu (règles sociales, règles culturelles, valeurs dominantes), et les intègre dans la structure de sa personnalité.''

Personnalisation: ''Rejet sélectif des modèles, des valuers et des normes sociales auxquels l'individu ne veut plus adhérer''. L'individu choisit pour lui-même son identité.

Les crises identitaires peuvent survenir lorsque l'individu est placé devant des choix visant sa croissance personnelle ou sociale.

Le concept d'individu (le ''Je'') est relativement nouveau.

Cette distance entre l'individu et la société émerge à la fin du Moyen Âge.

Dans le contexte du développement du capitalisme, les valeurs individualistes et les droits individuels ont remplacé la notion générale des droits et libertés collectives.La notion de la réalisation et du dépassement de soi prennent aussi de l'importance.

Selon Durkheim, notre ''Je'' constitue notre être individuel, c'est à dire le pôle individuel de notre identité constitué par notre caractère, notre tempérament et nos expériences personnelles.

La perspective selon laquelle l'individu reconnaît qu'il ''demeure le même'' dans le temps représente la permanence de soi.

Élias et la représentation symbolique

la représentation symbolique (capacoté de se représenter mentalement des objets, des concepts, des idées, etc.) permet à l'individu de prendre une certaine distance face à soi-même et de se situer face aux autres.

''la mémoire sert à matérialiser la permanence de l'individualité''

Le visage permet une reconnaissance de l'autre par la différence perceptible dans les yeux.

Le pôle social de l'identité représente l'être collectif d'un goupe social (famille, amis, etc.), et est forgé par nos habitudes, nos croyances, nos pratiques morales.

Selon l'anthropologue Kardiner, la personnalité de base constitue l'ensemble des valeurs, croyances et pratiques partagées par un même groupe.

Le sociologue Pierre Bourdieu crée l'idéal-type de l'habitus afin d'expliquer divers catégorisations de pratiques sociales exercées par les membres dun même groupe.

Selon Muchielli, le sentiment d'appartenance se construit de trois manières: par l'entremise du partage d'expériences communes, les formes de solidarité humaine (ex: cuisine collective) et la personnification du groupe (ex: le Québec pense).

Zones d'appartenance de Caillé : aspirations, sociabilité primaire, communautés religieuses, citoyen du monde.

Les deux pôles de l'identité se développent de concert, en interdépendance.

Modernité: Manière fondamentalement nouvelle de concevoir les liens entre les individus et les institutions à partir de la Renaissance.

Renvoie à la notion de changement.

Caractérisée par: l'avancée des droits de l'Homme, le triomphe de la Raison et émancipation de l'être humain. Aussi caractérisée par la montée de l'individualisme et le développement du capitalisme.

Les caractères sociaux des individus selon le type de société (selon la croissance démographique) de Riesman.

La société agraire à forte croissance démographique est stable, guidée par la tradition vise la reproduction et possède des repères stables et une identité homogène.

Les individus dans une société en transition ont des comportements ''intro-déterminés'' basés sur leurs croyances personnelles qui font preuve d'autonomie décisionnelle.

Les individus dans une période de déclin démographique ont des comportements extro-déterminés., c'est-à-dire qu'ils sont réceptifs aux espoirs et aux préférences d'autrui.

*le développement des identités multiples (grâce aux mariages interculturels et la mondialisation de la culture)

*l'élargissement des choix individuels (la tradition baisse en importance, donc l'individu doit élaborer ses propres repères identitaires)

*l'augmentation des revendications identitaires (tous les nouveux groupes revendiquent sur des fronts différents (les femmes, les écolos, etc.)

*la montée du nationalisme ethnique (nationalisme civique vs. ethnique(Québecois de souche))

Aliénation: Sentiment qu'éprouve un individu ou un groupe d'individus qui perd tout pouvoir sur sa vie et devient dépendant de l'autre. L'aliénation est le résultat de la négation de l'identité individuelle et sociale par un groupe social dominateur.

Étape 1: Négation de l'identité de l'autre

Le dominateur nie l'autonomie de l'autre pour protéger ses propres intérêts, c'est à dire qu'il inhibe sa capacité de définir son identité par son propre potentiel.

Étape 2: Transformation de l'autre en objet

Le dominateur considère la personne aliénée comme étant sa propriété et exerce sur elle ''une mainmise tant physique que psychologique. Le dominateur est prêt à exercer une certaine violence envers l'aliéné afin de garantir

Étape 3: Infériorisation de l'autre

La culture de la personne ou du groupe aliéné est considérée comme inférieure. Le dominant cherche alors à ''civiliser'' l'autre en lui inculqant ses valeurs et ses moeurs.

Constat: La personne ou le groude aliéné se sent dévalorisé et exclus.

Selon Mucchielli, l'aliénation se manifeste lorque des contraintes particulières ont des effets négatifs sur les individus et les amènent à modifier leur identité.

Les 3 critèes de l'aliénation selon Rioux, Lamarche et Sévigny

1. L'individu perd tout pouvoir sur son activité sociale ou celle de son groupe social.

2. L'individu se sent dépossédé des éléments qui lui permettent de se définir.

3. L'individu ne possède pas les moyens politiques, économiques et culturels de s'intégrer à la société d'accueil.

L'exclusion sociale

Selon Campeau: ''Processus d'appauvrissementque l'individu ou le groupe social subit et qui aboutit à une rupture de tous ses liens sociaux.''

Cest individus ou groupes exclus sont stigmatisés par les membres de la sopciété et son considérés comme n 'étant pas utiles à la société.

La double identité

Survient lorsque l'intégration à la société d'accueil se fait très lentement et quand les éléments de la culture d'origine perdent de l'importance dans l'orientation de l'action des individus.

Il est à la fois considéré comme un étranger dans sa société d'accueil et ne sent pas non plus chez lui lorsqu'il se retrouve dans sa culture d'origine.

Ce problème se complexifie lorsque les individus se referment surleur communauté d'accueil.

Identité de deuxième génération

La stigmatisation d'un groupe social peut mener à de fortes difficultés d'intégration sociale de la part des individus.

1. Intériorisation de l'image dévalorisée – culpabilité, soumission

2. Affrontement de la source de dévaloriation – neutralisation des affronts et survalorisation

3. Stratégie d'assimilation - on essaie de se fondre dans la culture dominante en l'intégrant

4. Stratégie de compromis – Dialogue entre les cultures

La dévaorisation peut être vécue et gérée de quatre manières selon Campeau

Le concept d'aliénation chez Alex Mucchielli

L'exclsion sociale, la double identité

et l'identité de deuxième génération

Les 3 étapes de l'aliénation d'Albert Memmi

la sociologie: étude de la modernité

les caractéristiques de l'identité moderne

le ''je'', le ''nous''

L'identité

L'individu et la société

Le fonctionnalisme

le marxisme

L'interactionnisme

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